Abstrakti
Ces dernières années, la séparation des populations de leurs terres à travers les
aires protégées et les initiatives de conservation de la gouvernance locale a été au coeur descritiques dans le discours peuple-parc. Cependant, des questions essentielles demeurent quant à la façon dont les gens entretiennent des relations culturelles avec les parcs et leurs zones périphériques. Cet article explore les circonstances dans lesquelles les gens ne sont pas entièrement déconnectés de leur culture malgré la gestion étatique du parc national du Mont Cameroun (MCNP) en Afrique de l'Ouest. Dans cet exemple, les gens soutiennent les activités de subsistance et l'interaction spirituelle avec les ancêtres et les divinités dirigés sous l'égide des croyances rituelles. Sur la base d'une enquête ethnographique menée auprès des Bakweri dans la région sud-ouest du Cameroun, nous avons constaté que les facteurs d'installation à distance, le besoin d'assurances collectives parmi les personnes et le sentiment d'appartenance à un groupe ethnique renforcent un attachement réciproque
entre les personnes et le lieu. Cette observation aide à combler les lacunes dans les relations entre les personnes et les parcs grâce à la continuité culturelle.
Mots clé: continuité culturelle, croyances rituelles, Parc National du Mont Cameroun, Bakweri, Afrique de l'Ouest
aires protégées et les initiatives de conservation de la gouvernance locale a été au coeur descritiques dans le discours peuple-parc. Cependant, des questions essentielles demeurent quant à la façon dont les gens entretiennent des relations culturelles avec les parcs et leurs zones périphériques. Cet article explore les circonstances dans lesquelles les gens ne sont pas entièrement déconnectés de leur culture malgré la gestion étatique du parc national du Mont Cameroun (MCNP) en Afrique de l'Ouest. Dans cet exemple, les gens soutiennent les activités de subsistance et l'interaction spirituelle avec les ancêtres et les divinités dirigés sous l'égide des croyances rituelles. Sur la base d'une enquête ethnographique menée auprès des Bakweri dans la région sud-ouest du Cameroun, nous avons constaté que les facteurs d'installation à distance, le besoin d'assurances collectives parmi les personnes et le sentiment d'appartenance à un groupe ethnique renforcent un attachement réciproque
entre les personnes et le lieu. Cette observation aide à combler les lacunes dans les relations entre les personnes et les parcs grâce à la continuité culturelle.
Mots clé: continuité culturelle, croyances rituelles, Parc National du Mont Cameroun, Bakweri, Afrique de l'Ouest
Alkuperäiskieli | englanti |
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Sivut | 103-121 |
Julkaisu | Culture and local governance |
Vuosikerta | 6 |
Numero | 2 |
Tila | Julkaistu - 9 heinäk. 2020 |
OKM-julkaisutyyppi | A1 Vertaisarvioitu alkuperäisartikkeli |
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